LaprĂ©paration de votre «grand jour» est une pĂ©riode trĂšs Ă©prouvante. La salle de mariage, musique, fleurs, robe et costume, invitations. Il y a des milliers de choses Ă  faire. Dans tout cela, il est trĂšs facile d’oublier ce qui devrait vraiment ĂȘtre une prioritĂ© - l’espace pour vous deux. Avez-vous dĂ©jĂ  prĂ©parĂ© de la lingerie pour la nuit de noces ? Si oui, fĂ©licitations Qui a dit que la nuit de noces devait forcĂ©ment se terminer par les ronflements gĂ©nĂ©reux de sa moitiĂ©, largement Ă©talĂ©e sur le lit king-size de la suite ? Pas nous. Pour rĂ©ussir votre nuit d’amour comme il se doit, suivez les conseils avisĂ©s de Mireille Dubois-Chevalier, notre experte du jour qui est sexologue Ă  Ne pas se mettre la pression De la pression, il y en a dĂ©jĂ  eu tout au long de l’organisation de votre mariage. Choisir les bonnes fleurs, le meilleur traiteur, ne pas placer cousin Machin Ă  cĂŽtĂ© de la tante Bidule 
 Bref, s’il y a bien un lieu oĂč l’on doit se laisser aller, c’est bien la chambre Ă  coucher. “Il ne faut pas ĂȘtre dans une finalitĂ©, la question n’est pas dans la performance mais dans la sensualitĂ©â€, assure Mireille Planifier ses Ă©batsVous avez dĂ©jĂ  mis au point tout un mariage, pourquoi ne pas prĂ©voir cette nuit si spĂ©ciale. Ne faites pas les gros yeux, nous ne vous conseillons pas d’établir une liste des positions et le timing qui va avec. “Trouver ensemble la chambre d’hĂŽtel, la tenue de Madame peut se rĂ©vĂ©ler extrĂȘmement bĂ©nĂ©fique voire excitant.” Pour ceux qui auraient peur de manquer de spontanĂ©itĂ©, la sexologue l’assure “Personne ne peut prĂ©voir ce qui va se passer”. Alors guĂȘpiĂšre, porte-jarretelles, huile massante ou petit scĂ©nario, laissez aller votre Prendre son temps“Le temps est votre alliĂ©â€, rappelle Mireille Dubois-Chevalier. Pour que le temps se suspende pendant cet acte d’amour, la sexologue prĂ©conise, pourquoi pas, la pratique du tantrisme. KĂ©sako? Cette pratique originaire d’Inde prĂŽne les relations sexuelles lentes et sans orgasme. Le prĂ­ncipe est donc, le soir de votre nuit de noces, de profiter du corps de l’autre et de retarder le moment de la jouissance au mĂĄximum. Mireille Dubois-Chevalier conseille elle d’attendre l’aube, symbole d’un renouveau Se sĂ©parer

 Pour mieux se retrouver. Evidemment, nous ne vous conseillons pas de planter Jules le jour J devant l’autel mais de vous sĂ©parer quelques jours avant le mariage, pour mieux se retrouver. “Certains de mes patients font dĂ©libĂ©rĂ©ment le choix de prendre huit jours chacun de leur cĂŽtĂ©â€, explique la praticienne. Imaginez votre Jules, huit jours d’abstinence au compteur 
 Votre absence et la sienne rendront vos galipettes encore plus Se redĂ©couvrirAvec votre moitiĂ©, vous vous connaissez par cƓur. Vous finissez les phrases de l’autre une pratique trĂšs agaçante pour vos amis cĂ©libataires, il connait vos goĂ»ts, vous les siens, bref, si vous passiez sur le plateau des “Amours” sur France 2, vous remporteriez un maximum de cƓurs. Seulement voilĂ , pour que votre nuit de noces ne ressemble pas aux milliers que vous avez dĂ©jĂ  connus ensemble, vous devez agir comme si c’était votre premiĂšre fois. “Le mariage est un acte hautement symbolique, on dĂ©cide de se lier aux yeux du monde. RedĂ©couvrez le corps de votre partenaire puisqu’il est dĂ©sormais officiellement le vĂŽtre. Explorez, caressez, sentez et vibrez Ă  nouveau”, conseille la sexologue.”enregistrerHugo Felix, Shutterstock Bonus N’abusez pas des bulles
 
 A moins que vous n’ayez envie d’avoir un teint blafard, le front qui brille et le vomis facile, retenez-vous. Une coupe de champagne au vin d’honneur, deux verres de vin pendant le repas, une derniĂšre coupette pour trinquer et vous devriez ĂȘtre au top de vos performances. Mireille Dubois-Chevalier pratique la sexologie et la psychothĂ©rapie Ă  Paris depuis 2002.
ÉtĂ©1942. Sacha, douze ans, et Jacob, son petit frĂšre, sont Ă  la fois surpris et trĂšs contents de partir en vacances avant la fin de l’annĂ©e scolaire. D’autant qu’ils auront la chance de sĂ©journer dans la pension de leur oncle Jean, un manoir breton au bord de la mer ! Une fois sur place, ce n’est pas tout Ă  fait la colonie de vacances qu’ils s’imaginaient – les
Que porter pour sa nuit de noces ? Madame voudra sans aucun doute Ă©blouir monsieur pour cette occasion trĂšs spĂ©ciale. Zankyou a rĂ©cemment fait un dossier sympathique Ă  ce sujet, Ă  lire Ă©galement. Quelques conseils ci-dessous. Quelle couleur de lingerie ? Quelle matiĂšre ? Quel type de vĂȘtement ? Quel budget ? Petit tableau rĂ©capitulatif A dĂ©couvrir aussi
 Quelle couleur de lingerie ? La couleur de votre lingerie devra ĂȘtre adaptĂ©e Ă  celle de votre robe de mariĂ©e, sauf si vous vous changez discrĂštement avant de rejoindre votre mari. Quelle matiĂšre ? Satin, soie, dentelle, vous aurez l’embarras du choix ! Un critĂšre avant tout votre confort ! Quel type de vĂȘtement ? GuĂȘpiĂšre, porte-jarretelle, bustier, brassiĂšre, body
 Le choix est large. PrivilĂ©giez le confort vous devez ĂȘtre Ă  l’aise pour plaire Ă  monsieur. Pour cela, n’hĂ©sitez pas Ă  Ă©trenner en secret votre lingerie avant la nuit de noces, et vĂ©rifiez que vous pouvez danser avec, lever les bras
 Lors du choix du vĂȘtement, pensez aussi au cĂŽtĂ© sexy et romantique de cette nuit qui n’arrivera qu’une seule fois. Quel budget ? Comme tout Ă©vĂšnement unique, la nuit de noces mĂ©rite certainement qu’on lui consacre un budget spĂ©cial ! Petit tableau rĂ©capitulatif Type de sous-vĂȘtement Avantages InconvĂ©nients Bustier Galbe la poitrine Affine la taille Peut ĂȘtre inconfortable Porte-jarretelle TrĂšs sexy pour monsieur Non adaptĂ©e aux robes moulantes GuĂȘpiĂšre Galbe la poitrine Affine la taille Sexy lors du dĂ©shabillĂ© Peut ĂȘtre inconfortable Ă  essayer impĂ©rativement Body Parfait pour les dos-nus Pas de bretelles souvent Peu pratique pour aller aux wc Soutien-gorge AdaptĂ© Ă  tous les besoins galber, amplifier
 Irritations et frottements possibles A dĂ©couvrir aussi
 DĂ©couvrez Ă©galement le wedding kit de Passionata ! Personnen'ignore que la Bretagne s'est soulevĂ©e, durant le XVIIĂšme siĂšcle, Ă  propos du tabac et du papier timbrĂ©, et que cette mutinerie fut rĂ©primĂ©e, avec une atroce sĂ©vĂ©ritĂ©, par le duc de Chaulnes, commandant de la province, parce qu'il n'est personne qui n'ait lu les lettres horriblement spirituelles Ă©crites par Madame de SĂ©vignĂ© sur ce triste sujet.
Une lettre de Madame de SĂ©vignĂ© censĂ©e avoir Ă©tĂ© Ă©crite il y a 333 ans est en fait un pastiche lien signalĂ© sur Facebook. Question posĂ©e le 02/05/2020Une lettre de Madame de SĂ©vignĂ©, censĂ©e ĂȘtre adressĂ©e Ă  sa fille Madame de Grignan, est abondamment partagĂ©e ces derniers jours sur les rĂ©seaux sociaux et WhatsApp, cumulant sur Facebook plus d’un million de vues et 50 000 partages 1.En des circonstances similaires Ă  ce que nous vivons, voici ce que Madame de SĂ©vignĂ© Ă©crivait Ă  sa fille Madame de Grignan», peut-on lire. La femme de lettres du XVIIe siĂšcle dĂ©crit dans cette soi-disant lettre une situation d'Ă©pidĂ©mie Ă  Paris, oĂč le roi Louis XIV aurait confinĂ© ses habitants.Surtout, ma chĂšre enfant, ne venez point Ă  Paris ! Plus personne ne sort de peur de voir ce flĂ©au s'abattre sur nous, il se propage comme un feu de bois sec. Le roi et Mazarin nous confinent tous dans nos appartements. Monsieur Vatel, qui reçoit ses charges de marĂ©e, pourvoie Ă  nos repas qu'il nous fait livrer», poursuit le texte datĂ© du jeudi 30 avril 1687. Qui conclut Je vous envoie deux drĂŽles de masques ; c'est la grand'mode. Tout le monde en porte Ă  Versailles. C'est un joli air de propretĂ©, qui empĂȘche de se contaminer, je vous embrasse, ma bonne, ainsi que Pauline.»Plusieurs indices prouvent pourtant que cet Ă©crit est un pastiche. PremiĂšrement, on ne retrouve aucune Ă©pidĂ©mie s’étant abattue sur Paris cette annĂ©e-lĂ . DeuxiĂšmement, deux des personnes citĂ©es, le cardinal Mazarin et le cuisinier Vatel, sont dĂ©jĂ  morts le jour oĂč cette missive est censĂ©e ĂȘtre rĂ©digĂ©e. Le premier est mort en 1661 et le second s’est suicidĂ© en 1671. La marquise de SĂ©vignĂ© fait d’ailleurs le rĂ©cit de sa mort dans ses selon plusieurs calendriers, le 30 avril tombait en fait un
 mercredi en 1687. Aucune lettre Ă©crite par Madame de SĂ©vignĂ© un 30 avril 1687 ne figure d'ailleurs dans les recueils recensant ses lettres.1 Pour lutter contre les fake news», Facebook a mis en place un partenariat avec cinq fact-checkers français dont LibĂ©ration. Des articles trĂšs partagĂ©s sur les rĂ©seaux sociaux et signalĂ©s par des utilisateurs sont vĂ©rifiĂ©s par les mĂ©dias Ă  vĂ©rifierAu XVIIe siĂšcle, Madame de SĂ©vignĂ© alertait sur une situation trĂšs semblable Ă  ce que l'on vit aujourd' lettre est un pastiche.
La Dame aux Ă©lixirs. Versailles, 1682. A la cour, les dames s’arrachent les remĂšdes d’une certaine Madame Jouvence pour embellir ou rajeunir. Mais HĂ©loĂŻse de Montviviers, une amie de Madame de Montespan, rĂ©chappe de peu Ă  la mort aprĂšs avoir utilisĂ© certains de ces produits miracles CĂ©cile, une demoiselle d’honneur, enquĂȘte
La nuit de noces mode d'emploi a dĂ©florationSommaire 1 Introduction 2 PrĂ©parez la nuit de noces 3 La nuit de noces et la dĂ©floration La dĂ©floration La jeune mariĂ©e et la nuit de noces Les hommes et la nuit de noces 4 Une dĂ©floration traumatique ou absence de dĂ©floration 5 VidĂ©oLa nuit de noces mode d’emploi Articles liĂ©s IntroductionLa lune de miel est perçue dans l’inconscient collectif comme l’une des plus romantiques de notre vie. AprĂšs le plus beau jour de votre vie, cette nuit ne peut ĂȘtre que magique, oubliez la fatigue et en profitez. Nos conseils pour la rĂ©ussir en pleine nos jours, la nuit de noces a perdu son sens original, ce pendant, beaucoup de jeunes couples accordent encore de l’importance Ă  cette premiĂšre nuit en tant que nouveaux mariĂ©s. Pour des raisons religieuses ou personnelles, certains choisissent de ne pas connaĂźtre de nuit intime avant la nuit de ces personnes, la nuit de noces a toute son importance, puisque c’est leur premiĂšre nuit intime oĂč ils dĂ©couvriront leurs corps et connaĂźtront leurs premiĂšres Ă©treintes. , ce moment magique est le dĂ©but de l’apprentissage de deux corps. PrĂ©parez la nuit de nocesGĂ©nĂ©ralement, les couples choisissent de passer leurs nuit de noces dans une chambre luxueuse d’hĂŽtel 4 Ă©toiles, d’un chĂąteau, dans un comping, une caravane ou tout autre lieu exotique, ou plus simplement dans le domicile conjugal. Si vous dĂ©cidez de rester chez vous n’hĂ©sitez pas de prĂ©parer votre chambre Ă  l’avance un tapis de pĂ©tales, des roses sur le lit, un Ă©talage de bougies, une bouteille de champagne bien fraĂźche. La nuit de noces et la dĂ©floration Autrefois, se marier vierge Ă©tait la rĂšgle, les jeunes mariĂ©s attendaient la nuit de noces avec impatience, mais, cela devient moins frĂ©quent Ă  notre Ă©poque en ceux pour qui cela serait nĂ©anmoins leur premiĂšre Ă©treinte, ce moment magique est le dĂ©but de l’apprentissage de deux corps, nous vous conseillons d’en avoir discutĂ© avant, en couple. En effet, cette nuit joue un rĂŽle important dans votre future vie dĂ©floration La dĂ©floration est la rupture de l’hymen par la pĂ©nĂ©tration du pĂ©nis dans la cavitĂ© vaginale. AprĂšs l’excitation sexuelle entraĂźnant une lubrification adĂ©quate, le pĂ©nis s’insĂšre entre les petites lĂšvres Ă©cartant ainsi les parois vaginales. A 4 cm de l’entrĂ©e vaginale, le gland pĂ©nien appuie sur l’hymen entraĂźnant sa rupture. Cette dĂ©chirure s’accompagne d’une douleur variable qui dure quelques secondes et d’un psychanalyse, la dĂ©floration n’a pas seulement pour consĂ©quence culturelle de lier de façon durable la femme Ă  l’homme; elle dĂ©lie la femme aussi d’une rĂ©action archaĂŻque d’hostilitĂ© contre l’homme, rĂ©action qui peut prendre des formes pathologiques se manifestant par des phĂ©nomĂšnes d’inhibition dans la vie amoureuse du couple et Ă  laquelle on peut attribuer le fait que les seconds mariages sont souvent meilleurs que les premiers. Selon Freud, la dĂ©floration remet la femme devant une rĂ©alitĂ© nouvelle, celle d’une relation possible avec l’homme. Les analyses de souvenirs des femmes sur leur premiĂšres fois dĂ©montrent “la profondeur du choc psychologique rĂ©sultant de la perte de l’hymen”.La jeune mariĂ©e et la nuit de nocesLes femmes qui se marient vierges sont des femmes qui ont Ă©vitĂ© toutes relations sexuelles ou toute pĂ©nĂ©tration vaginale, sans ĂȘtre inactive sexuellement. Pour ces femmes, le manque d’expĂ©riences sexuelles peut engendrer une peur ou une anxiĂ©tĂ©, altĂ©rant ainsi la qualitĂ© du rapport dĂ©floration, peut ĂȘtre vĂ©cue comme un acte inconfortable, ainsi que les premiĂšres pĂ©nĂ©trations, ces douleurs ne sont pas une fatalitĂ©, pensez juste au plaisir que vous allez donner et recevoir Ă  ce moment; dĂ©tendez vous et laissez vos sentiments vous guider. Vous pouvez, ainsi, Ă©rotiser votre nuit de noces et en ajouter du romantisme sans oublier de bien connaĂźtre son corps et de se familiariser avec la sexualitĂ© anatomie, fonctions
Il est prĂ©fĂ©rable que la femme aide son mari Ă  la dĂ©florer pour ressentir moins mal car suite Ă  une pĂ©nĂ©tration rapide et brutale, les organes du vagin ne se relĂąchent pas et cela peut entraĂźner des peur rĂ©sultante de cette sensation empĂȘche l’éjaculation vaginale, qui permet d’annihiler les effets de frottement entre le pĂ©nis et le vagin. Faute de cette sĂ©crĂ©tion, cela fait mal Ă  l’homme comme Ă  la femme pendant le rapport. La participation de la femme diminue considĂ©rablement cette douleur et la transforme en jouissance. La dĂ©floration se fait la plupart du temps en position couchĂ©e, en sorte que la femme se couche sur son dos en pliant ses jambes et les Ă©cartant. L’homme se met sur elle et relĂšve ses hanches pour que son pĂ©nis soit orientĂ© vers le bas et du cĂŽtĂ© infĂ©rieur du vagin. L’hymen se distend alors et se la dĂ©floration, la femme perd un peu de sang mais si la saignĂ©e continue, elle doit fermer les jambes et se coucher sur le dos sans bouger pendant un moment. Le mari doit s’abstenir d’avoir des rapports sexuels avec sa femme pendant au moins les deux jours qui suivent, en fonction de ses sentiments Ă  elle, sauf s’il ressent qu’elle en a hommes et la nuit de nocesLa plupart des maris commettent deux grandes erreurs pendant la nuit de noces Il accorde toute son attention Ă  vouloir dĂ©florer sa femme la premiĂšre nuit, quelque soit le moyen ou la maniĂšre, pensant que cela est honorifique Ă  sa virilitĂ©, et qu’autrement cela est honteux pour mari attend que sa femme admette sa virilitĂ© et accepte ce viol» sans prĂ©mices ni moindre perte de temps. D’ailleurs, un mari impatient ne pourra que rĂ©colter rĂ©pugnance et haine de sa mari doit ĂȘtre doux et sensuel dans ses mouvements. Glissez des paroles douces et envoĂ»tantes Ă  votre femme, la cajolez et l’embrassez aux endroits sensibles de son corps, et passez votre main sur elle avec douceur et beautĂ© jusqu’à ce qu’elle soit prĂȘte Ă  faire l’amour. De longs baisers sur les joues et les lĂšvres, la poitrine et le cou 
 Le sentiment de jouissance et d’excitation traverse tout son corps et toutes ces galanteries Ă©rotiques, en caressant les parties Ă©rectiles, facilitent la relation sexuelle et les Ă©poux peuvent jouir. La femme ne doit pas rester passive et froide durant cette nuit si agrĂ©able. Le mari attend d’elle quelque chose et dĂ©sire qu’elle rĂ©plique en comprenant ses sentiments et en Ă©changeant son prĂ©cipitation et la brutalitĂ© de l’acte ne peuvent que causer la rupture du lien, car si l’homme attend et patiente, sa jeune femme aura le temps de se calmer, d’accepter la relation premiĂšre nuit ensemble doit fortifier les liens amoureux, et non pas une nuit de contrainte et de dĂ©monstration de virilitĂ© rapide et brutale. Le mari ne doit passer Ă  l’acte qu’aprĂšs avoir senti la disposition et l’envie de sa compagne. Les deux Ă©poux ne doivent pas exagĂ©rer durant la nuit de noce, ils peuvent se contenter de la dĂ©floration tout en se prĂ©parant pour les nuits Ă  maris sont incapables de dĂ©florer leur femme la premiĂšre nuit, rĂ©sultant d’un dĂ©sir froid ou d’une grande rĂ©sistance de l’hymen. Ne dramatisez pas, et reportez ça Ă  la nuit suivante. Une dĂ©floration traumatique ou absence de dĂ©floration Le manque de communication dans le couple est le responsable des drames pendant la nuit de noces . Le faite d’évoquer ouvertement la sexualitĂ© les fantasmes, partager ses dĂ©sirs, ses craintes et ses difficultĂ©s avec son partenaire permet au couple de se familiariser avec la sexualitĂ© et donc d’attĂ©nuer ses nuit de noces doit ĂȘtre prĂ©parĂ©e, pensĂ©e et parlĂ©e avant d’ĂȘtre vĂ©cue. D’une relation de confiance et d’un dialogue sans tabou naĂźtra le dĂ©sir de partager cette expĂ©rience sans crainte ni ne faut pas dramatiser, la rĂ©paration Ă©tant possible dans la majoritĂ© des cas et ce, grĂące Ă  un suivi par des psy qu’il ne faut surtout pas hĂ©siter Ă  consulter, notamment quant le traumatisme de la nuit de noces cause des troubles sexuels tel que la frigiditĂ© chez la femme. Pour les sociologues, le handicap rĂ©side dans la conception de la sociĂ©tĂ© traditionnelle, gouvernĂ©e par le silence et le tabou, qui cultive les non-dits sur le sexe et s’enferme sur sexuelle serait toujours, le meilleur moyen pour familiariser la jeunesse avec un domaine jusqu’ici liĂ©sPost Views 791
Mmede SĂ©vignĂ© (lettre du 11 juin 1677) a employĂ© cette locution (la gloire de NiquĂ©e) Ă  l'occasion de Mme de Montespan et de sa sƓur: se trouvant en elle-mĂȘme la gloire de NiquĂ©e.Voy. encore la lettre du 29 juillet 1676. — NiquĂ©e est une hĂ©roĂŻne du roman alors cĂ©lĂšbre de l'Amadis des Gaules.Les prĂ©cĂ©dents Ă©dition de Saint-Simon ont supprimĂ© ce nom et
Il nous a laissĂ© une description Ă©pique de ce que fut son mariage Mon père ne me parlait jamais. Il me fait monter en voiture, me mène à Vienne pour me marier. J’arrive dans une maison où il y avait quantité de jolies figures épousées ou à épouser c’est ce que je ne savais pas. On me dit de me placer à table à côté de la plus jeune. J’appris par mes gens qu’il s’agissait de mariage pour moi. Mais quand je pensai, au sortir du dîner à tout ce que j’avais vu, je ne savais pas si c’était mon beau- père, ma belle-mère, une tante ou les jeunes petites personnes qui m’étaient destinées. Huit jours après, j’épousai. J’avais vingt ans et ma petite femme en avait quatorze. Nous ne nous étions rien dit. C’est ainsi que se fit ce qu’on prétend être la chose la plus sérieuse de la vie.[...] Au soir de la cérémonie, avant la bénédiction de la chambre nuptiale, la nouvelle petite princesse de Ligne fut mise au lit par ses tantes et cousines, attendant que son époux s’y glisse à son tour. À la bénédiction du curé d’un village d’Autriche ou de Moravie, on avait dit des litanies. C’était l’usage d’y paraître en robe de chambre, et la mienne était, au milieu de l’été, de satin couleur de feu avec des perroquets brodés d’or, perchés sur une quantité de petits arbres brodés en vert. Quel fut mon étonnement lorsque mon père, avec un air de satisfaction, et jouissant de la surprise, me fit passer les bras dans cette vieillerie avec laquelle je l’avais vu essuyer plus de cinquante accès de goutte! Mon père, en revanche, avait l’air du marié et ne portait que des habits brodés sur toutes les coutures. »La nuit de noces fut aussi inconfortable qu’éphémère. En effet, les femmes qui avaient préparé le lit nuptial y avaient glissé toutes sortes de reliques pleines d’aspérités et les tourtereaux furent réveillés très tôt. Je ne me souviens plus, écrit le marié, si ce fut par air ou par goût pour la chasse que j’y allais à 6 heures du matin après la première nuit de mes noces. Il est vrai que ma belle-mère était venue nous réveiller avant le jour, de peur, disait-elle, que de mauvaises gens nous jetassent un mauvais sort. Je m’aperçus bien que la famille dans laquelle j’étais entré n’était pas grande sorcière. » Deces tĂ©moignages, il ressort que les contemporains attribuĂšrent au dĂ©mon (ayant d'abord ƓuvrĂ© pour la conclusion d'un mariage inĂ©gal) la mort de la connĂ©table de Montmorency, et que, prĂšs d'un siĂšcle plus tard, et peu avant la mort du Grand CondĂ©, petit-fils de Louise de Budos, se rĂ©pandit le bruit d'une apparition : Ă  une fenĂȘtre du Cabinet des armes de Chantilly, l'on a vu un
Pour la premiĂšre fois, je signe un article sous un pseudo. Par respect pour mon mari, mes enfants, mes parents... Peut-ĂȘtre pour moi aussi, car en relevant ce dĂ©fi, j’ai dĂ©passĂ© mes propres limites. Faire l’amour avec une femme ? Il y a longtemps que j’y pensais, comme beaucoup d’entre nous peut-ĂȘtre. Comment ça fait ? Est-ce vraiment diffĂ©rent d’avec un homme ? De lĂ  Ă  passer Ă  l’acte... L’alibi d’un article pour Marie Claire, c’était parfait. Mais d’abord, il fallait trouver la femme, et ce ne fut pas simple. Je la voulais belle, enfin Ă  mon goĂ»t, et comme mes deux meilleures amies sont plutĂŽt jolies, c’est vers elles que je me suis tout naturellement tournĂ©e. Dis, ça te dirait de passer la nuit avec moi ? C’est pour Marie Claire... » La premiĂšre a Ă©clatĂ© de rire. Et la seconde, qui avait dĂ©jĂ  essayĂ©, a pensĂ© que coucher avec moi gĂącherait Ă  tout jamais notre amitiĂ©. Alors j’ai dĂ» oser. Ma premiĂšre nuit avec une nuit tout mon corps tressaille Jeudi 22 heures Un vigile m’ouvre la porte et me fait signe d’entrer. L’endroit est sombre, pas trĂšs grand. Je m’installe seule Ă  une table. Champagne ! Autour de moi, tout le monde est en bande. Dans l’ensemble, presque des caricatures, sans Ăąge. Curieusement, je ne suis pas mal Ă  l’aise. Des femmes me dĂ©visagent, mais elles m’indiffĂšrent. Pire, elles m’effraient. Trop viriles. Trop nĂ©gligĂ©es... Minuit Toujours parlĂ© Ă  personne. Je suis sur le point de renoncer, quand soudain, au bar, une apparition une trĂšs jolie fille, la trentaine, cheveux mi-longs et sauvages, la peau trĂšs blanche, une grande bouche trĂšs rouge, des yeux clairs maquillĂ©s en noir, un sourire gigantesque. Un corps de princesse dans un look dĂ©jantĂ©. Soudain, je ne me sens plus Ă©trangĂšre. Je ne sais pas si c’est l’effet du champagne mais mon ventre se serre. Je me lance des copains gays m’ont conseillĂ© d’agir cash ». La fille est installĂ©e au bar, je m’approche. Elle se tourne vers moi et me sourit. Frontale, j’attaque Je m’appelle Luna, et je te trouve trĂšs jolie. » Elle rit des yeux, vraiment dĂ©licieuse Moi, c’est Elsa. T’es pas mal non plus, mais je suis prise. D’ailleurs ma nana ne va pas tarder Ă  arriver, et elle est trĂšs jalouse. Dommage... » Je lui glisse que j’aimerais bien la revoir Je te donne mon numĂ©ro ? » Je lui tends un bout de papier avec mon numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone, sur lequel je griffonne Je ne connais pas ce monde des femmes. Tu es la seule qui peut me le faire dĂ©couvrir. Ton couple ne sera pas en pĂ©ril. Passons une nuit ensemble, tu me plais. » Elle plante ses yeux dans les miens. A plus tard... » Deux heures plus tard Effectivement, alors que j’ai regagnĂ© mon lit et ma real life », mon portable vibre. Un SMS Toi aussi, tu me plais. Suis libre demain soir. Tu as mon numĂ©ro, fais-en bon usage. » J’aime le style de cette fille. Toujours pas peur... Le lendemain, je vais droit Ă  l’essentiel Ce soir, hĂŽtel Murano ? 22 heures ? » Elle rĂ©pond d’accord. Presque trop simple... Il me reste quelques heures pour me faire belle, et trouver un alibi pour passer la nuit dehors. Je ne vais quand mĂȘme pas expliquer Ă  mon homme que je pars coucher avec une femme... Vendredi 21 heures Seule au bar du Murano, je m’enivre en douceur. Je prĂ©fĂšre ĂȘtre dans un Ă©tat second... Je porte une jupe, des bas, ma peau est douce et parfumĂ©e, je me sens belle mais bizarre. Comment savoir si je lui plairai ? Difficile d’anticiper le regard d’une femme sur soi quand on ne connaĂźt que celui des hommes. 22 heures SMS Quinze minutes de retard, mais j’arrive. » Je tressaille. Et si je partais ? J’ai tout Ă  coup envie d’un dĂźner en tĂȘte Ă  tĂȘte avec mon homme. Je me raisonne et commande une autre coupe. 22h20 Elle arrive. Encore plus belle qu’hier soir. Talons hauts, jambes nues, une robe portefeuille couleur prune... TrĂšs femme, elle aussi. C’est la premiĂšre fois de ma vie que je trouve une fille dĂ©sirable au point... de vouloir coucher avec elle. Elsa s’installe Ă  cĂŽtĂ© de moi. Elle est drĂŽle et directe. Me raconte qu’elle est chorĂ©graphe, originaire du Poitou, qu’elle a votĂ© SĂ©go et que, parfois, elle s’ennuie Ă  Paris. Moi je lui avoue que je suis journaliste, sans trop m’étendre sur la question. 23 heures Un peu de mal Ă  me concentrer sur la conversation. En fait, j’ai la trouille. Plus Elsa navigue Ă  l’aise, plus je me sens dĂ©calĂ©e. C’est juste une discussion entre filles, mais codĂ©e. Et je n’ai pas les clĂ©s. Une vraie dĂ©butante... pĂ©trie de curiositĂ© et de dĂ©sir pour cette jolie fille qui me drague, mais aussi d’envie de prendre mes jambes Ă  mon cou. Je reste. 23h01 Nous sommes dans l’ascenseur trĂšs sombre, Ă©clairĂ© de quelques paillettes. Elsa s’approche, et vlan, sans un mot, m’embrasse. Ses lĂšvres sont douces. Comme c’est Ă©trange, le contact de cette peau imberbe, cette façon si dĂ©licate de s’y prendre, et ce parfum de fille... J’ai le doit ressentir mon trouble, elle recule, me regarde, lĂ , plaquĂ©e contre la paroi, sourit, et m’embrasse Ă  nouveau. Nous faisons la mĂȘme taille, nos cuisses se frĂŽlent, nos hanches... Pour la premiĂšre fois, je sens des seins contre les miens. Le bas de mon ventre brĂ»le. D’instinct, ma main se glisse Ă  l’intĂ©rieur de sa cuisse. Du satin... Elsa passe la sienne sous mon chemisier, saisit la pointe de mes seins, tout mon corps frissonne. Comme si c’était la toute premiĂšre fois. Laisse-toi aller », me susurre Elsa Ă  l’oreille, comme si elle sentait mes doutes, du bout de ses doigts. Sa douceur me tranquillise. Je prends confiance. Et j’avoue que ça m’effraie. ArrivĂ©es dans la chambre, on se jette sur le lit, en se marrant, comme aux meilleurs moments de l’adolescence. Et le plus naturellement du monde, nous nous prends goĂ»t Ă  ces drĂŽles de baisers, si doux, si sensuels... Je me sens prise dans un tourbillon. Entre un dĂ©sir que je n’imaginais pas, et des pensĂ©es parasites qu’est-ce que je fous lĂ  ? Est-ce que je vais aller jusqu’au bout ? Et c’est quoi, au bout » ? VoilĂ  mĂȘme que surgit la tĂȘte de ma mĂšre, avec sa mimique quand elle braillait Range ta chambre. » Et mon frĂšre qui va tous les dimanches Ă  la messe... Et mon mari, mon Dieu, je l’avais oubliĂ©... Ma premiĂšre nuit avec une nuit J'en veux encore Mais le courant est si fort qu’il m’entraĂźne. Nos lĂšvres ne s’effleurent plus, elles se dĂ©vorent. Nos corps ondulent, flottant sur la mĂȘme vague. Tout ça me paraĂźt si naturel, si Ă©vident... C’est fou comme sa peau est douce sous la robe, j’adore la cambrure de ses reins. J’ai envie d’elle, vraiment, comme je sens qu’elle a envie de moi. Rien Ă  voir pourtant avec le dĂ©sir pour un homme. C’est Ă  la fois plus Ă©pidermique, plus tactile, mais tout aussi tripal. J’ai envie de me fondre en elle, sans la moindre apprĂ©hension. Il doit y avoir quelque chose de fƓtal dans ce dĂ©sir... Mais plus le temps de me poser des questions, je savoure. Ce corps jumeau contre le mien, le frĂŽlement de sa robe contre mes bas, j’en ai la chair de poule. Un champ inconnu de sensations s’ouvre Ă  moi. J’en veux encore. "LĂšche-moi" Elsa a dĂ» le sentir. Elle dĂ©grafe ma jupe. Ses doigts remontent dĂ©licatement le long de ma cuisse. Sa main est chaude, elle m’effleure Ă  peine, je retiens mon souffle. Quand je la sens, sĂ»re d’elle, arrivĂ©e entre mes jambes, j’ouvre les yeux pour mieux mesurer la transgression. Elle aussi me regarde et me sourit. C’est cette crĂ©ature dĂ©licate, qui me caresse et me fait cet effet-lĂ ... Je replonge. Elle s’occupe de moi en artiste. Pour le moment, je la laisse faire, entiĂšrement offerte. Juste, je la dĂ©shabille. TrĂšs excitant, d’ailleurs, de me retrouver dans ce rĂŽle. DĂ©boutonner une robe, dĂ©grafer un soutien-gorge... Ça doit ĂȘtre merveilleux d’ĂȘtre un homme. Entre-temps, Elsa a approfondi son exploration. Et ses doigts qui me pĂ©nĂštrent me donnent envie d’essayer moi aussi. Timidement, je la caresse. Je sens sa main qui saisit la mienne, et me guide. DĂ©cidĂ©ment, elle lit en moi. Curieusement, je me sens soumise, ingĂ©nue, et pourtant, je sais qu’il n’y a pas d’emprise. Pas de rapport de force entre nous. Ses gestes sont doux. Experts. Elle me connaĂźt mieux que moi-mĂȘme, et moi, j’ai de plus en plus envie de plonger en elle, de l’explorer. LĂšche-moi », m’ordonne-t-elle doucement. Je n’ai jamais vu de si prĂšs le sexe d’une femme. Il est Ă©pilĂ© et sent bon. Entre ses cuisses, je m’installe. C’est doux, mes doigts cheminent entre ses lĂšvres et ma langue se glisse. Le goĂ»t est un peu salĂ©, pas acide du tout. Et vlan ! ma conscience revient. Comme une bulle de bande dessinĂ©e qui crĂšve Ă  la surface est-ce bien moi, lĂ , entre les cuisses de cette inconnue ? Oui. Et ça ne me dĂ©plaĂźt pas du tout. Elsa a encore dĂ» sentir mes doutes. Elle se marre. Tu aimes ? » Mais oui, c’est bien ce qui me surprend le plus. La sentir trempĂ©e sous mes doigts, frĂ©mir, durcir, se contracter sous ma langue... Ça me fait vraiment de l’effet. Durant une heure Nous faisons l’amour ainsi, l’une prĂ©cĂ©dant l’autre puis la suivant, mĂȘlant caresses, fous rires, petits mots doux, et tentatives acrobatiques pour rĂ©ussir Ă  coller nos deux sexes frissonnants l’un Ă  l’autre. Moi, je mime tout ce qu’elle me fait, elle pousse mes doigts Ă  l’intĂ©rieur d’elle. Elle me murmure Encore ! » Viens ! » Ose ! » et je fais tout ce qu’elle me dit. Jusqu’au moment oĂč je sens qu’entre ses doigts, sa langue et ses lĂšvres si prĂ©cises, je... jouis, aussi fort, peut-ĂȘtre plus, qu’entre les mains d’un homme, et l’idĂ©e que c’est grĂące Ă  cette fille, m’excite encore davantage. Elle me laisse reprendre mon souffle et recommence, malgrĂ© moi, tout doucement, et je repars... Puis je me blottis contre elle, sans plus aucune peur, ni retenue. Elle me sourit, et doucement guide ma tĂȘte de nouveau vers son sexe, oĂč je me perds dĂ©licieusement, en essayant d’ĂȘtre aussi dĂ©licate qu’elle, aussi attentive. Oui, comme ça » Elle m’aide de ses mots. Puis je la sens Ă  son tour, se contracter tout entiĂšre, et de sa main elle m’intime d’arrĂȘter. J’ai l’impression qu’elle ne respire plus, comme si elle Ă©tait emportĂ©e loin de moi par une vague, je n’ose plus faire un geste. Puis elle revient Ă  elle doucement, et moi je n’en reviens pas de cette violence. C’est Ă©trange, une femme qui jouit... Deux heures plus tard Nos corps sont moites, nos tĂȘtes pendent dans le vide du lit dĂ©fait, et j’éclate de rire. C’est plus fort que moi. Elsa me regarde, dĂ©contenancĂ©e, elle ne comprend pas que c’est de moi que je me moque. Ma douce Elsa, pas convaincue, propose un dans la pĂ©nombre et la mousse dĂ©licatement parfumĂ©e, nous sommes allongĂ©es comme des amantes. Et discutons comme des copines. Elle, son enfance, ses expĂ©riences dĂ©sastreuses avec les mecs, les filles ensuite, et cette femme, rĂ©guliĂšre, depuis quelques mois... Moi, mon hĂ©tĂ©rosexualitĂ© de base, mon homme, la maternitĂ©... C’est doux, intime. Naturel... Nous n’abordons pas la question de demain. Pour moi, c’est l’histoire d’une nuit, une affaire entendue. Enfin, je prĂ©fĂšre. J’aurais peur de l’inverse... A la sortie du bain, Elsa se rhabille et me quitte, presque brutalement. Il faut que j’aille chercher ma chĂ©rie au boulot ! » Moi, je suis vidĂ©e. Trop d’émotions. Elle, est toute guillerette On se revoit quand tu veux ! Et, la prochaine fois, on s’amusera avec des gadgets. » Elle m’embrasse. Un baiser tendre, une langue douce, une derniĂšre fois, et elle disparaĂźt. Moi, je reste lĂ , allongĂ©e seule sur le lit de la chambre d’hĂŽtel, bouleversĂ©e. La prochaine fois ? On verra...
IaaReD.
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